VECAM : un rêve porté par YAEL MOTAZE

La jeunesse camerounaise regorge de talents et d’initiatives prometteuses. L’une des figures montantes de cette jeunesse dynamique est Yael Motaze, promotrice de VECAM (Vision Entrepreneuriat Cameroun), qui propose une vision d’avenir pour la transformation des tubercules de manioc. Dans un contexte où l’usine de transformation du manioc de Sangmelima reste inopérante malgré son potentiel, Yael Motaze plaide pour une relance de cette usine avec un modèle de gestion concertée et durable


L’usine de Sangmelima, réhabilitée à hauteur de 1,643 milliard de FCFA, soit 443 millions de FCFA de plus que son coût initial, est confrontée à plusieurs défis :
Approvisionnement irrégulier en manioc
Désorganisation des producteurs
Difficultés de financement
Vétusté des équipements
Gouvernance défaillante parfois

Valoriser le manioc, c’est :
Garantir des revenus durables aux producteurs
Créer des emplois pour les jeunes
Renforcer la sécurité alimentaire des familles
Dynamiser l’économie locale et nationale
VECAM, un Partenaire Stratégique

VECAM se propose comme partenaire stratégique pour accompagner la gestion et la relance de l’usine de Sangmelima. L’organisation est déterminée, organisée et proche du terrain, ce qui constitue un atout majeur pour la réussite de ce projet.
En effet, VECAM a déjà organisé un atelier de transformation du manioc dans la ville de Sangmelima, montrant ainsi son expertise dans le domaine. L’atelier visait à montrer à la jeunesse camerounaise l’importance de cet aliment très consommé dans le monde.
Avec des initiatives comme celle de VECAM, le Cameroun peut espérer atteindre ses objectifs d’émergence à l’horizon 2035 en valorisant ses ressources agricoles et en créant des opportunités économiques pour sa Jeunesse

Alamba magazine

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